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La beauté… une histoire millénaire

cleopatre

La beauté : Qualité de quelqu’un, de quelque chose qui est beau, conforme à un idéal esthétique.

Conforme à un idéal esthétique… Mais la beauté en soi n’est-elle pas subjective ? Elle semble en tout cas une notion abstraite, relative et propre à chacun, à chaque mentalité et surtout elle est évolutive.

En effet à chaque époque la beauté répond à des codes, des critères et des standards différents !

Si l’on voyage dans le passé, à travers les modes et les siècles, la notion de beauté et de s’embellir remonte à des milliers d’années.

Déjà à la préhistoire . . .

L’Homo-sapiens a relaté les débuts de « la coquetterie » en mettant en valeur le corps humain sur des fresques dessinées à l’aide de pigments naturels.

L'antiquité

L’art de la cosmétique est très ancien, les peintures des Egyptiens de l’Antiquité nous racontaient au combien l’apparence soignée des femmes et des hommes était importante. A cette époque, les Egyptiens utilisaient déjà le rouge à lèvres et rosissaient également leurs joues avec du fard à base de végétaux comme la rose ou le coquelicot. Le khôl, premier eye-liner de l’histoire, utilisé en premier lieu comme un collyre en cas d’infection oculaire, devient rapidement un moyen de rendre le regard plus fort avec des yeux distingués et allongés, même chez les hommes qui se maquillaient parfois plus intensément que les femmes.

Et puis il y a aussi, la fameuse légende du bain de Cléopâtre au lait d’Anesse. Elle utilisait également quotidiennement de l’argile rouge pour unifier son teint ainsi que de l’aloé-vera.

Puis c’est au tour des Grecs et des Romains d’adopter ces rituels d’embellissement de leur corps et de leur visage que leur font découvrir les Egyptiens lors de voyages de commerces de tissus et d’épices.

Le goût pour l’esthétisme était déjà bien présent chez les Grecs et les Romains comme en témoignent leurs statues.

Au moyen-âge

Transition brutale dans les apparats et le fait de prendre soin de son corps. A cette époque c’est l’église qui régit la vie sociale et politique. Le maquillage est alors interdit car considéré comme un pacte avec le diable et les femmes l’utilisant de manière trop voyante considérées comme des femmes de petite vertu.

Le teint doit être pâle, synonyme de pureté à l’image de la Vierge Marie, avec des lèvres et des joues légèrement rouges et des cheveux blonds et bouclés. La blancheur de la peau faisait référence à une valeur sociale, réservée aux femmes nobles et aristocratiques qui vivaient à la cour. La peau colorée, bronzée se lisait sur le visage du peuple qui passait sa journée dans les champs ou à l’extérieur.

Signe de beauté à cette époque, un front haut était considéré comme beau ce qui encourageait les femmes à se raser les cheveux pour accéder à ce graal, cheveux qu’elles devaient attacher en chignon et cacher sous une coiffe.

La renaissance

Une période d’art, de culture et de science où les critères de beauté et d’élégance se précisent de plus en plus, toujours réservés aux plus riches !

La beauté de la Renaissance inspire les grands peintres et la plume de grands poètes et écrivains. Les pinceaux de Léonard de Vinci ont su sublimer et fixer à merveille la fraîcheur et l’éclat du teint de Mona Lisa, plus connue sous le nom de la Joconde, une beauté qui a traversé les siècles. Aujourd’hui le secret de sa beauté suscite l’admiration, chaque jour, de milliers de personnes qui lui rendent visite au musée du Louvre !

Autre illustration d’une beauté intemporelle de l’époque, celle de Diane de Poitiers qui a longtemps fasciné par son éternelle jeunesse. Couchée chaque soir à vingt heures, elle se lève à six heures pour commencer sa journée par un bain bien glacé, un rituel à l’encontre des règles d’hygiène de l’époque.

Au temps des rois

On commence à s’occuper un peu de la peau car elle souffre de maladies. En 1585 apparait le premier traité sur les maladies de peau.

Louis XIV surnommé « le roi le plus fleurant du monde » lance la mode de se parfumer. Au temps du roi Louis XV, la cour est baptisée « la Cour parfumée ». Les premières salles de bain apparaissent dans les châteaux, l’eau reprend la place qu’on lui connaît aujourd’hui pour nettoyer son corps et sa peau.

La révolution industrielle

C’est à cette époque qu’apparait le développement des produits de beauté, les crèmes et le maquillage fabriqués en grande quantité grâce, notamment, au progrès de la chimie. Les femmes de la bourgeoisie peuvent les découvrir dans certains grands magasins à Paris, comme l’évoque Emile Zola dans son roman « Au Bonheur des Dames » qui parle de ces nouvelles clientes. Les revues de tendance de la mode et les premières publicités sur la cosmétique font leur apparition. Des slogans prometteurs s’emparent de la une de ces premiers magazines de la beauté avec déjà une notion de marketing publicitaire.

C’est aussi la naissance de grandes marques de la parfumerie, Guerlain, Molinard ou encore Roger & Gallet, qui existent encore à ce jour.

Au XXème siècle

La beauté amorce un nouveau virage dans l’histoire des canons de la beauté. La naissance du cinéma ouvre une nouvelle vision de l’épanouissement de la femme, insufflant ainsi une nouvelle ère de la libération de cette dernière. De nouvelles icônes qui ont marqué leur temps font le bonheur des industriels. D’abord Greta Garbo et Marlène Dietrich puis Sophia Loren, Brigitte Bardot sans oublier Marilyn Monroe.

Depuis cette période bon nombre de lieux dédiés à la beauté des femmes ne cessent de se développer et proposent des milliers de produits pour être la plus belle.

La guerre des marques dans le domaine de la beauté est lancée, toujours réactive et à l’écoute des femmes modernes dans leur évolution esthétique.

A l'aube du XXIème siècle . . .

Sans aucun doute de nouveaux standards de la beauté contemporaine voient le jour dans l’industrie de la mode et de la cosmétique. Les techniques d’embellissement ne cessent d’augmenter : la chirurgie plastique et les différentes innovations de la médecine esthétique suscitent un réel engouement, pour se créer une « nouvelle image », bien souvent dictée par les codes d’une beauté idéale, voire idéalisée !

Smiling Hippie girl

Aujourd'hui . . . pour un retour au naturel

Une tendance du retour au naturel qui se confirme avec l’émergence des produits de beauté, notamment bio, mais aussi du fait maison qui touche tous les domaines de notre quotidien.

Ce retour c’est avant tout adopter une philosophie et un mode de vie qui s’oriente vers un retour à la nature comme une (re) connexion à elle, tout en la respectant.

Un respect plus profond d’une cosmétique que l’on applique sur sa peau en parfaite affinité et compatibilité avec l’écosystème cutané tout en respectant son intégrité.

Un respect de l’environnement qui prend en compte l’ensemble du processus de fabrication, de la composition et des contenants voir des emballages.

Une raison d’être, d’avoir et de faire qui prend alors tout son sens !

Un de mes mantras :

« La beauté n’a de sens que celui que vous lui accordez, l’intention prend alors tout son sens, et éveille en vous tous vos sens ! »

Vegetalement vôtre,

Valérie

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